Origine de Rollon : une historienne relance la piste norvégienne

Où est né Rollon ? Depuis une centaine d’années, la question fait débat. Danemark ou Norvège ? La seconde hypothèse tient aujourd’hui la corde. Ce que confirme une récente biographie du Viking écrite par Liliane Irlenbusch-Reynard. En prime, l’historienne apporte une hypothèse inédite : le fondateur de la Normandie serait le fils des rois de Vestfold.

Rollon

Rollon, premier « duc de Normandie ». Source : Généalogie royale, XIVe siècle (détail), British Library.

La bonne vieille piste danoise.

Depuis la fin du XIXe siècle, les historiens s’écharpent sur l’origine de Rollon. Ce débat historiographique s’enflamma lors de la célébration du millénaire normand en 1911 au cours duquel les historiens norvégiens et danois se disputèrent, avec violence, sa figure. Aujourd’hui, le calme est revenu sans que le problème soit définitivement réglé.

Commençons par les partisans de l’origine danoise. Elle repose sur une célèbre source latine : De moribus et actis primorum Normanniae ducum écrit vers l’an 1000 par le chanoine Dudon de Saint-Quentin. Tout essai sur la biographie de Rollon passe par la lecture de cette œuvre. Les historiens n’ont pas trouvé source plus bavarde sur le personnage. Malheureusement, sa rédaction intervient presque un siècle après la mort de Rollon, généralement datée de l’an 932 ou 933. Un peu tard pour que Dudon de Saint-Quentin ait pu parler avec des gens qui ont côtoyé ce grand guerrier.

Le De moribus et actis primorum Normanniae ducum fait de Rollon un Dace. Les Daces (Daci en latin) sont un peuple antique que l’auteur, par ressemblance phonétique, rapproche des Dani, c’est-à-dire les Danois. Attaqués par le roi de Dacie, Rollon et son frère Gurim perdent la terre de leur père, un homme puissant, mais que malheureusement Dudon ne nomme pas. Une lacune regrettable comme on le verra. Toujours selon Dudon, Gurim est tué dans un combat tandis que Rollon doit s’exiler en Europe occidentale, d’où son irruption en Angleterre puis en Normandie. À l’époque de Guillaume le Conquérant, le moine Guillaume de Jumièges reprend et poursuit l’histoire racontée par Dudon. Dans ses Gesta Normannorum ducum, il précise que Rollon vient de « Dacie, qui s’appelle aussi Danemark ». Difficile d’être plus clair sur la « patrie » du chef viking. Alors pourquoi une telle incertitude ?

La piste norvégienne qui a la cote

La chanson n’est pas la même de l’autre côté de la mer. En Islande et en Norvège, de multiples sources, parfois écrites en latin, plus souvent en norrois (l’ancienne langue scandinave), évoquent Rollon et ses exploits d’une manière différente. Malgré leur discordance, leur laconisme sur notre personnage et leurs erreurs factuelles, elles convergent sur un fait : Rollon (appelé Gongu-Hrólfr) est originaire de Norvège. La Saga des Orcadiens apporte le plus de précisions : Rollon « était si grand qu’aucun cheval ne pouvait le porter ». Son père était un jarl (prince) nommé Rognvaldr à qui le roi Haraldr aux Beaux Cheveux avait confié les deux provinces de Møre et de Raumsdal (dans le centre-ouest de la Norvège).

La pierre d'Eu

Cette pierre a été offerte par la ville norvégienne d’Alesund à la ville d’Eu en souvenir de « Gangeolf (dit Rollon), originaire d’Alesund, fondateur de la Normandie en 911 ». Alesund est dans le comté de Møre og Romsdal.

Comme la tradition normande, cette historiographie norvégo-islandaise souffre cependant quelques critiques qui invitent à la prendre avec des pincettes. Difficile par exemple de faire totalement confiance aux sagas, ces récits transmis oralement, de génération en génération. Leur mise par écrit commence à partir du XIIe siècle, soit bien après l’époque de Rollon et même de Dudon de Saint-Quentin. Dans ces conditions, les faits rapportés ont pu être déformés, partiellement oubliés et plus ou moins bien raccommodés. D’autant que ceux qui tenaient la plume, en habiles conteurs, se plaisaient à apporter leur grain de sel pour donner cohérence, intérêt ou sens à leurs récits.

Malgré ces limites, la plupart des historiens défendent aujourd’hui l’origine norvégienne, à la suite des études d’Henri Prentout, Louis de Saint-Pierre, David C. Douglas et Lucien Musset notamment.

Une nouvelle hypothèse : Rollon fils du roi de Vestfold

Auteure d’une biographie de Rollon en 2016, l’historienne Liliane Irlenbusch-Reynard se rattache aux partisans de l’hypothèse norvégienne, sans toutefois suivre totalement ses devanciers. Elle identifie le père de Rollon, non pas comme Rongvaldr de Møre, mais comme Rognvaldr heðumhæri (le très honoré). Vivant dans la seconde moitié du IXe siècle, il fut le dernier roi de Vestfold. Le Vestfold est une région norvégienne au sud-ouest d’Oslo. À l’époque, aux IXe-XIe siècles, c’est une zone disputée, un temps sous influence danoise. Cette situation politique confuse expliquerait, selon Liliane Irlenbusch-Reynard, pourquoi Dudon donne une origine danoise à Rollon.

C’est dans le Vestfold que les archéologues firent une magnifique découverte : le bateau-sépulture de Gokstad. Daté récemment par dendrochronologie de l’an 901, il servit à inhumer un personnage éminemment important, un roi de Vestfold selon Liliane Irlenbusch-Reynard qui ose même l’identifier à un frère de Rollon (le Gurim évoqué par Dudon).

Gokstad

Le navire-sépulture de Gokstad. Un exemple de bateau viking exceptionnellement conservé. Il aurait servi de sépulture à un frère de Rollon. Source : Bjørn Christian Tørrissen sur Wikimedia Commons.

Que penser de l’hypothèse de Liliane Irlenbusch-Reynard ?

L’historienne l’avoue elle-même : son « scénario […] ne repose que sur l’observation d’un contexte et la collection d’indices fragiles ». L’orientation de Liliane Irlenbusch-Reynard semble principalement motivée par le désir de nouer les fils entre deux traditions opposées, la norvégo-islandaise et la normande. Et les propos de Dudon de Saint-Quentin puis de Guillaume de Jumièges, qui font allusion à une origine danoise, la trouble particulièrement.

Or, ce dernier point mérite-t-il de s’y arcbouter ? Pierre Bouet, autre récent biographe de Rollon, évacue cette difficulté. Pour lui, quand Dudon parle de « Dani » (Danois) ou de « Dacie », il faut entendre ces mots dans leur sens de l’époque et dans leur contexte géographique : pour un Franc ou un Anglais, un Danois est alors un Scandinave, qu’il vienne du Danemark, de Norvège ou de Suède ; la Dacie, c’est la Scandinavie dans son ensemble. Un peu plus tard, Guillaume de Jumièges, mal informé sur le vocabulaire utilisé par Dudon, interprétera malheureusement Dacie comme Danemark. Un sens beaucoup trop restreint.

Un débat vain

Pourquoi s’obstiner à attribuer à Rollon une nationalité danoise ou norvégienne ? La question est-elle pertinente ? Lisons en effet Pierre Bouet :

« Un tel débat ignor[e] les réalités politiques et géographiques du monde scandinave du IXe siècle. Les royaumes danois, norvégien et suédois n’étaient pas encore bien différenciés, et ils ne possédaient ni véritable pouvoir central ni frontières déterminées. Tous les Scandinaves parlaient la même langue, le norrois ». Autrement dit, il n’est pas sûr que Rollon se serait lui-même défini en Danois ou en Norvégien.

D’ailleurs, cette proximité entre les peuples scandinaves explique sûrement pourquoi Rollon, viking probablement d’origine norvégienne, commandait une bande de Danois. Pierre Bouet de développer : « Au IXe siècle, les différences de nationalité étaient mineures et donc importaient peu. Surtout les Vikings en partance pour une aventure lointaine préféraient se choisir comme chef un homme d’expérience et d’autorité, sans considérer son origine ». Fin du débat.

À lire

  • Liliane Irlenbusch-Reynard, Rollon : de l’histoire à la fiction, P.I.E. Peter Lang, 2016
  • Pierre Bouet, Rollon. Le chef viking qui fonda la Normandie, Tallandier, 2016
  • Liliane IRLENBUSCH-REYNARD, « La tradition norvégo-islandaise sur Rollon : Un témoignage convaincant ? » in La Fabrique de la Normandie, Actes du colloque international organisé à l’Université de Rouen en décembre 2011, publiés par Michèle Guéret-Laferté et Nicolas Lenoir (CÉRÉdI).

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Laurent Ridel

Historien de formation, je vis en Normandie. Ma passion : dévorer des livres et des articles d'historiens qualifiés puis cuisiner leurs informations pour vous servir des pages d'histoire, digestes et savoureuses. Si vous êtes passionnés de patrimoine médiéval, je vous invite vers mon second blog : Décoder les églises et les châteaux forts

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11 Responses

  1. Fontaine Bertrand dit :

    Deux danois sont venus à Fecamp récemment, ancienne capitale du duché de Normandie,pour y prélever des morceaux d’os qui étaient inhumés dans l’abbaye ducale ,dans les tombes de RICHARD 1er et RICHARD II,il se trouve que d’après leur recherche de datation avec l’ADN ce ne seraient pas les Ducs de NORMANDIE
    Qu’en est il, aucune info depuis ?
    Bertrand FONTAINE
    Membre des amis du vieux FECAMP

    • Laurent Ridel dit :

      Oui, ce prélèvement dans le cadre du projet Rollon date de 2016. Il visait à préciser l’origine scandinave des ducs de Normandie. L’interprétation des chercheurs norvégiens conclut au fait que les squelettes sont trop anciens pour appartenir aux ducs de Normandie. Je ne sais rien de plus depuis. Je suppose que le projet est tombé à l’eau suite à ces résultats décevants.

  2. joel Supery dit :

    Bonjour,
    Il y a quelque chose d’étonnant à propos des origines de Rollon. C’est qu’on préfère faire confiance à des sources scandinaves du 14e siècle, alors que des sources franques contemporaines (Richer en l’occurrence) nous racontent une autre histoire des origines de Rollon. La logique serait de donner la priorité à la source la plus proche en temps et géographiquement. Ce n’est pas le cas et cela pose question sur la manière dont la question des origines de Rollon ont été étudiées depuis toujours. D’après Richer, Rollon serait le fils de Catillus tué à Limoges…

    • Laurent Ridel dit :

      Bonjour. Les historiens prennent avec beaucoup de précautions les écrits de Richer. Selon Jean Renaud, dont vous connaissez les livres, « il faut se méfier de ce qu’écrit Richer sur le début du Xe siècle, chaque fois qu’il s’écarte du récit de Flodoard sur lequel il s’appuie ». Selon Pierre Bouet, « Richer a dû confondre avec un autre chef viking, Bjorn, fils d’un certain Ketil Flatnef ». Pour ma part, j’ajouterai en quoi Richer est-il plus fiable que les sources scandinaves sur une naissance en Scandinavie. Géographiquement il en est éloigné. Enfin, certaines de ces sources scandinaves sont moins éloignées temporellement que vous le dîtes. La Heimskringla, la saga d’Olaf, le Landnamabok… sont plutôt du 12e et XIIIe siècles.

      • joel supery dit :

        Je connais effectivement Jean Renaud et je ne partage pas son avis concernant Richer. Richer apporte des modifications à l’oeuvre de Flodoard, mais il le fait rarement par hasard. Son père était un officier franc et s’il se donne la peine de ^préciser l’origine de Rollon, c’est peut-être parce qu’il a des informations que d’autres n’ont pas. Le point qui « bloque » avec le témoignage de Richer concernant Catillus est qu’il évoque une armée de « 50 000 hommes », un « nombre absurde ». Si effectivement on considère qu’il emmène ses 50 000 hommes de Scandinavie en bateau, c’est absurde. Par contre, si on le fait venir de Gascogne envahie depuis 840 à pied et à cheval, alors, les 50 000 hommes sont beaucoup moins « fantaisistes ». Mais évidemment, comme l’invasion de la Gascogne n’a jamais été envisagée par aucun historien normand, la présence d’une telle armée devient incongrue et Richer devient une « source suspecte »….

        • Laurent Ridel dit :

          Même si les compagnons de Catillus venaient de terre, 50000 hommes est un nombre invraisemblable pour l’époque. Il n’a pas fallu attendre les historiens normands pour juger les écrits de Richer suspects. Robert Latouche (1881-1979) avait déjà noté les ajouts fantaisistes de Richer à l’œuvre de Flodoard. Quant à l’invasion de la Gascogne, vous l’avez l’envisagé et vous savez ce que les historiens pensent de votre thèse.

  3. Joel dit :

    Les historiens ? Lesquels ?
    Ceux qui disent que les Vikings sont venus en Gascogne pour en piller les monastères ?
    Lorsque les Vikings éliminent les évêques de Gascogne, c’est politique. Lorsque les Annales de Saint Bertin évoquent à trois reprises l’alliance entre Pépin et les Danois, c’est politique. Lorsqu’ils se donnent la peine d’assièger Bordeaux pendant des mois, c’est politique. Lorsqu’ils capturent le roi de Pampelune, c’est politique. Il y a beaucoup d’éléments révélant que leur présence en Aquitaine a une dimension politique.
    Combien d’historiens ont étudié cette dimension politique ? Aucun.
    Combien d’historiens ont émis l’hypothèse que les Vikings auraient pu s’installer en Gascogne ? Aucun.
    Combien d’historiens ont étudié les invasions vikings au sud de la Loire ? Aucun.
    Les historiens aquitains nous disent dans le sillage d’Higounet que les 9e et 10e siècle sont des pages blanches. Alban Gautien nous dit que les sources ne permettent pas de savoir ce qu’il s’y est passé.
    Comment les historiens n’ayant jamais étudié la période faute de textes peuvent-ils affirmer que les Vikings ne se sont pas installés en Gascogne ?
    Lorsque vous parlez des « historiens » qui ne sont pas d’accord avec ma thèse, pouvez-vous me donner des noms et les noms des ouvrages de référence sur lesquels ils s’appuient pour critiquer quelque chose qu’ils n’ont personnellement jamais eu l’occasion d’étudier ?
    Citez-moi un historien qui a étudié les invasions vikings au sud de la Loire et démontré que l’hypothèse scandinave a été écartée; et on en reparle. En réalité, la démarche scientifique aurait voulu que les deux hypothèses, celle de raids répétés et celle d’une installation permanente aient été étudiées avant que l’une d’elle soit retenue. Or, ni l’une ni l’autre n’ont jamais été étudiées. Pas très scientfique, mais si cela vous satisfait intellectuellement, alors j’accepte votre verdict.

    • Laurent Ridel dit :

      Ce que les historiens vous reprochent (et vous le savez très bien), ce n’est pas de vouloir étudier le phénomène viking au sud de la Loire. C’est votre méthode qui ne répond pas aux critères scientifiques. Partant de cette base erronée, vos conclusions n’ont plus grande valeur.

      C’est comme si un physicien prétendait avoir découvert une nouvelle théorie de la relativité, balayait d’un revers de main l’opinion critique de ses collègues sous prétexte qu’ils n’ont pas étudié le sujet aussi profondément que lui. Alors qu’il suffit à ces critiques de constater que les équations du physicien sont fausses.

      Aux lecteurs qui veulent connaître un avis sur le dernier livre de Joël Supery (l’auteur des commentaires plus haut), je renvoie vers la critique de l’historien Alban Gautier dans le Point et plus complète dans les Annales de Normandie.

  4. Joel dit :

    Cher M. Ridel,
    Comme vos collègues, vous vous en remettez à la méthode d’histoire méthodique théorisée par Seignobos. Je suis plutôt partisan de la méthode pragmatique formulée par l’Ecole des Annales.
    Ma méthode ne plait pas ? C’est normal : j’étudie des sources qui n’ont jamais été étudiées au motif qu’elles étaient tardives, donc suspectes. Jusqu’à preuve du contraire, un suspect doit être présumé innocent. Pas avec Seignobos semble-t-il.
    Si les historiens avaient un temps soit peu étudié les sources, ils auraient vu que l’alliance entre Pépin d’Aquitaine et Asgeir permet d’envisager l’existence d’un traité entre hommes du Nord et roi d’Aquitaine. Cette piste politique a-t-elle jamais été envisagée ? Jamais. Pourtant, la source sont les Annales de Saint Bertin. Le problème n’est pas dans ma méthode, mais dans les questions que n’ont jamais posées pas les historiens.
    Enfin, lorsque les historiens normands nous expliquent que la France était divisée en deux par la Loire. Qu’au nord on avait des Danois fondateurs de la Normandie et au sud des pillards norvégiens sans intérêt. J’ai du mal. Asgeir prend Rouen en 841 et Bordeaux en 848. Selon cette lecture, il est un Danois digne d’intérêt quand il prend Rouen, et 7 ans plus tard, il est devenu un Norvégien sans intérêt. Il n’est pas nécessaire d’avoir fait Normale Sup pour comprendre que la césure Danois/Norvégiens est une monumentale ânerie. Cette ânerie structure la recherche universitaire depuis plus d’un siècle et vous la cautionnez, M. Ridel.
    Franchement, je commence à bien connaître la question et je peux vous assurer que les méthodes utilisées part l’université ont abouti à un énorme ratage que je me contente de relever.
    Evidemment, si vous me démontrez que vos éminents maîtres ont étudié les invasions vikings au sud de la Loire, je suis intéressé.
    Pour ce qui est d’Alban Gautier, il est mon meilleur avocat. Il admet que les invasions ont été « mal étudiées » au sud de la Loire, que la Gascogne a sans doute été envahie, que leur présence en Gascogne pourrait donner un sens à leur présence en Méditerranée, et qu’il n’est pas absurde d’envisager une stratégie viking à l’échelle européenne…
    Il considère par contre, qu’une principauté scandinave en Gascogne, c’est une imposture. Le seul problème, c’est que dans la revue L’Histoire, il se demande si on peut trouver trace en Gascogne d’institutions politiques scandinaves. Il envisage donc la possibilité d’une principauté en mai et en juin, sans avoir pris le temps de chercher, il conclut qu’une principauté, c’est une imposture. Amateurisme universitaire normand dans toute sa splendeur.

  5. Clémence dit :

    Débat très intéressant !
    J’ai cependant une question même si le sujet date un peu…
    je suis en L3 histoire et je souhaiterai faire un m1 recherche sur les invasions vikings (en Angleterre en Écosse en en Normandie)
    Pouvez vous me dire quels sont les établissements qui font ce master ?

    • Laurent Ridel dit :

      Pour un master, qu’importe votre sujet, vous pouvez aller dans n’importe quelle université. C’est pour la thèse que vous aurez besoin de cibler un professeur et donc une université. Il vous faudra aussi avoir un sujet plus précis que les invasions vikings. Mais ça vous en discuterez avec votre directeur/directrice.

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